Eckart en parle dans son livre « le pouvoir du moment présent »…
En utilisant ces termes, cela devient un concept… le pain body, mais des fois les concepts sont bien pour reconnaître quelque chose qui se joue à l’intérieur de toi.
Qu’est-ce que le pain body ?
Le pain body est la souffrance qui a été cumulée en toi… toutes les petites choses qui t’ont blessée, heurtées, fais mal… quelles étaient d’une manière directe ou indirects, conscientes ou inconscientes… l’ignorance de quelqu’un à ton égard peut par exemple créer du « pain body ».
Il y a aussi le « pain body » que tu récupères de tes parents… ou plutôt les schémas inconscients. Tu sais, il y a toujours une phrase, un mot qui réveille une douleur en toi. Et ce mot et cette phrase est souvent activé par tes parents. Et ce qui est « drôle », c’est que généralement, c’est quelque chose qu’ils ont vécu d’une manière inconsciente avec leurs parents et qu’il te repasse comme une patate chaude.
Enfin, il y a le pain body « plus large ». Celui d’un clan familial, d’une communauté, et même d’un pays. La haine qui alimente le conflit israélien / palestinien n’est plus un conflit basé sur un élément concret, mais plutôt sur une souffrance intergénérationnelle cumulée et transmise énergétiquement à la dernière génération…
Mais dans tous les cas… cela revient à la même chose. Une souffrance qui s’empare de son hôte, qui se fait passer pour lui et qui crée du chaos.
Heureusement, il y a un moyen simple de dissoudre « le pain body ». C’est la « présence ».
Nouveau concept 
Concept contre concept
Mais si tu lis cet article et que tu suis mon blog, tu sais ce que signifie la présence et pas seulement d’une manière « conceptuelle », tu l’as expérimentée. C’est un état vibratoire élevé. Il dissout toute négativité. Il te permet de faire face à un peu près à n’importe quelle situation.
Et finalement, il est le seul remède contre le « pain body » ou la « souffrance du corps ». Tout ce que je te raconte là, ça fait un peu penser à Harry Potter non ? 
Mais maintenant que je t’ai expliqué tout ça, je t’invite à te rappeler la dernière fois que tu te sentais bien encré en toi, et qu’un stimuli, un parent, ami, a allumé en toi une souffrance, et à partir de là, tu as broyé du noir, tu as peut-être même été violent dans tes mots à l’égard de quelqu’un… Puis c’est retombé, et tu t’es dit… mais qu’est-ce qui m’est arrivé.
C’était ton pain body. Et à ce moment-là tu n’avais pas assez de présence, de conscience pour ne pas te laisser emporter par lui. Car d’une certaine manière, il te touche à un niveau identitaire. C’est le niveau du « qui je suis ». Et le qui je suis est une croyance profonde.
Et plus le pain body est ancré dans ton identité, plus il est difficile de lui faire face. Parce que lui faire face complétement sans se laisser emporter par lui signifierait : « une petite mort » ou « une mort tout court »….